Une soirée de gala organisée vendredi dernier à l’hôtel Hilton de Yaoundé a clôturé une semaine intense de festivités.
Le comité d’organisation des festivités marquant le Cinquantenaire de Cameroon Tribune a réservé le meilleur pour la fin. La soirée de gala organisée vendredi dernier dans les salons de l’hôtel Hilton à Yaoundé a permis au staff, au personnel du quotidien national bilingue et à leurs invités de clôturer en beauté une semaine de célébration. Un menu alléchant pour permettre aux nombreux convives de se détendre et de passer des moments de joie. La troupe théâtrale, « Le Kéguégué international » est venu détendre l’atmosphère en retraçant dans un humour bien senti, le riche et exaltant parcours de CT.
La projection du documentaire sur les cinquante ans de Cameroon Tribune a donné l’occasion à l’assistance de revivre en images un demi-siècle d’histoire à travers des témoignages d’acteurs et d’experts sur l’évolution technologique, les gloires et les misères ayant permis à ce journal d’asseoir sa notoriété. Dans un environnement en perpétuelle mutation, le quotidien pense déjà à s’adapter dans un contexte dominé par le numérique. Un buffet succulent et un gâteau de circonstance arrosés de champagne sont venus en rajouter au plaisir des convives. Les gagnants au jeu-concours organisé dans le cadre de cette célébration ont reçu à l’occasion leurs prix. Le tout dans une ambiance festive agrémentée par des airs culturels distillés par les artistes Isnebo, Bayis Cooper et Mel B.
Des moments de joie salué à leur juste valeur par les invités. « Un sentiment de totale satisfaction. Nous avons pris part lundi à la cérémonie d’ouverture qui marque pour le Cameroun et précisément pour Cameroon Tribune cinquante années d’activité qui a vu le journal évoluer et aujourd’hui être au firmament. Cameroon Tribune n’a plus rien à prouver, il a fait ses preuves. C’est une très belle soirée. Nous espérons que l’avenir rendra ce journal encore plus performant », a souligné Paul Patrick Biffot, ambassadeur du Gabon et doyen du corps diplomatique. « Il fallait bien marquer cette pause pour bien réfléchir, mais aussi pour fêter pour se détendre. On travaille beaucoup à SOPECAM. On travaille beaucoup à Cameroon Tribune. Lorsqu’arrive un moment comme ça, il faut s’éclater et c’est ce qu’on a fait », s’est réjoui Joseph LE, président du Conseil d’administration de la Société de presse et d’éditions du Cameroun.